PORTAIL FELIN KATZENPLATTFORM |
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FELINE PORTAL KATTEN PORTAAL |
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Au fil des lectures, créations I.A en images et en texte ; et autres petites trouvailles. Pour votre plaisir. | ![]() |
As you read, you'll discover AI creations in images and text; and other little discoveries. For your enjoyment. | |
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Beim Lesen entdecken Sie KI-Kreationen in Bildern und Texten sowie weitere kleine Entdeckungen. Viel Spaß! | ![]() |
Terwijl je leest, ontdek je AI-creaties in beeld en tekst; en andere kleine ontdekkingen. Voor je leesplezier. |
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Le Siamois, prince aux yeux d’azur
Dans le silence d’une pièce baignée de lumière, glisse une ombre fine, élancée, presque irréelle. Le chat siamois entre sans bruit, comme un souffle ancien venu d’Orient. Sa robe ivoire, douce comme un nuage d’été, se pare de touches sombres aux extrémités, tel un pinceau trempé dans l’encre d’un rêve.
Mais c’est dans son regard que naît le mystère : deux éclats de saphir, deux flammes froides et profondes, qui semblent percer le cœur de ceux qu’il fixe. Le siamois ne regarde pas : il observe, il interroge, il comprend. Dans ses yeux, la sagesse d’un vieux temple, la malice d’un enfant roi.
Il ne miaule pas, il parle. Sa voix rauque et chantante, étrange et envoûtante, résonne comme une plainte venue d’ailleurs, une mélodie oubliée que seuls les cœurs attentifs sauront entendre. Il réclame tendresse, présence, attention. Car ce félin royal n’est jamais seul : il choisit ses humains, il les adopte, il les aime.
Gracieux comme un danseur, vif comme une flamme, le siamois traverse la maison avec la grâce d’un poème en mouvement. Rien ne lui échappe, tout l’intrigue. Il joue, il guette, il veille. Fidèle et exigeant, il n’est pas un chat qu’on possède : il est un compagnon, un égal, un esprit libre.
Vivre avec un siamois, c’est accepter de partager son quotidien avec un être lumineux, parfois capricieux, toujours sincère. C’est accueillir le souffle du Siam dans son foyer, et sentir battre, sous une robe de velours, le cœur vibrant d’un petit roi.
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Le faon, curieux et timide : Le chat, avec un air mystérieux : Le faon, en baissant les yeux : Le chat, en s’étirant paresseusement : Le faon, intrigué : Le chat, avec un petit rire : Le faon, rêveur : Le chat, doucement : Le faon, en souriant : Le chat, avec un clin d’œil félin : |
Le Chaton au Rugissement de Lion Dans un coin chaud du salon, Ses moustaches frémissaient d'émotion, Les oiseaux s'envolèrent du balcon, Mais au fond, c’était juste un fripon, |
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[Dans un coin douillet du salon, nichés dans un panier moelleux, la famille féline discute tranquillement après une longue journée.] Maman Chatte (Mimine) : Chaton 1 (Noisette) : Papa Chat (Grisou), en baillant : Chaton 2 (Plume), curieuse : Papa Chat (Grisou) : Maman Chatte (Mimine), en souriant : Chaton 3 (Tigrette), un peu grognon : Maman Chatte : Chaton 4 (Pompon), d'une petite voix : Papa Chat : Maman Chatte : Les Quatre Chatons (en chœur) : Papa Chat (Grisou), en fermant les yeux : |
[Un jeune aventurier frotte une vieille lampe poussiéreuse. Une bouffée de fumée en jaillit, suivie d’un “MIAOUUUU!” tonitruant.] Chat-Génie (en sortant de la lampe, tout en s’étirant) : Aventurier (étonné) : Chat-Génie (lissant sa moustache d’un air royal) : Aventurier (intrigué) : Chat-Génie : Aventurier (riant) : Chat-Génie (soudain très sérieux) : Aventurier (hésitant) : Chat-Génie (claquant des griffes) : [Il disparaît dans un nuage de fumée, ne laissant derrière lui qu’un léger parfum de sardine et un poil sur l'épaule de l’aventurier.] |
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«Miaou… Chaque pièce me divise, mais ton regard peut me rassembler.» Miaou… Est-ce que tu m’entends ? Je suis là, quelque part entre le ciel et les coussinets d’un monde déchiré. Chaque pièce qui me compose est tombée, éparpillée comme des miettes de rêve sur la table du silence. Mon corps est fractionné, mon regard figé dans l’attente. Je ne suis plus que contours, couleurs confuses, oreilles sans tête, queue sans patte, soupirs sans voix. Et pourtant, je sens tes doigts. Je te vois penché, concentré, à la recherche de ce qui manque, de ce qui colle, de ce qui fait sens. À chaque clic, chaque pièce posée, c’est un peu de moi qui revient. Tu ne le sais peut-être pas, mais tu es en train de me sauver. Tu recouds mon pelage avec des formes dentelées, tu redonnes vie à mes moustaches avec des fragments d’images. Je suis un chat. J’ai été enfermé dans ce labyrinthe plat et silencieux. Mais je garde espoir. Car pièce après pièce, tu m’approches de la liberté. Et quand enfin tu placeras la dernière, peut-être entendras-tu un vrai ronron s’échapper de l’image, un souffle doux entre deux mondes. Le puzzle sera fini… et moi, je serai entier. |
Chat : Voix derrière la fissure (chuchotée) : Chat (intrigué) : Voix : Chat (penchant la tête, clignant des yeux) : Voix (souriant dans l’ombre) :
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Le Chat (assis devant l'aquarium, yeux plissés) : Le Poisson Rouge (s’arrêtant un instant, intrigué) : Le Chat (tapotant la vitre d’une patte prudente) : Le Poisson Rouge : Le Chat : Le Poisson Rouge (ricanant à sa manière) : Le Chat (soupirant) : Le Poisson Rouge : Le Chat (pensif) : Le Poisson Rouge : |
Le Chat d’Égypte (fier, sur un mur chaud du temple) : Les Hiéroglyphes (voix ancienne, qui semble venir du mur lui-même) : Le Chat (en se léchant la patte) : Les Hiéroglyphes (moqueurs) : Le Chat (avec un ronron méprisant) : Les Hiéroglyphes (sombres) : Le Chat (yeux mi-clos) :
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Les Trois Chats du Feu Tricolore Dans une ville pas tout à fait comme les autres, les feux de signalisation ont perdu leurs vieilles ampoules. À leur place, trois têtes de chats veillent au carrefour, chacune brillant de sa couleur comme un petit soleil vivant. En haut, le Chat Rouge, tout en majesté, fixe les passants d’un regard impérieux. Il ne miaule pas, mais son silence est clair : "On s’arrête." Ses yeux rubis flambent comme un avertissement royal. Au milieu, le Chat Orange, toujours un peu nerveux, tourne la tête de gauche à droite. Son pelage flamboie comme une alerte. Il cligne doucement des yeux pour dire : "Attention… ça va changer." Tout en bas, le Chat Vert ronronne paisiblement. Son regard tendre et tranquille invite à avancer. Il étire ses moustaches et murmure presque : "Allez-y, tout va bien." Depuis ce jour, la circulation est devenue un ballet félin, rythmé par les humeurs colorées de ces chats lumineux. Et personne ne traverse sans leur demander la permission, du coin de l’œil. |
Aujourd’hui, je vous parle de la queue d’un chat… très, très longue. Tel un ruban magique, elle serpente derrière lui, traverse les pièces, caresse les meubles, et parfois… fait trébucher les distraits. Elle est plus qu’un bout de chat : c’est un langage, une poésie, un panache en mouvement. À chaque frémissement, elle dit ce que le chat ne miaule pas. À chaque courbe, elle signe sa présence. Et dans sa longueur démesurée, elle nous rappelle que chez le chat, tout est grâce, même ce qui dépasse. |
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