PORTAIL FELIN

KATZENPLATTFORM

banniere_feline-world

FELINE PORTAL

KATTEN PORTAAL

livre_chat

drapeau_france Au fil des lectures, créations I.A en images et en texte ; et autres petites trouvailles. Pour votre plaisir.   expo_drapeau_angleterre As you read, you'll discover AI creations in images and text; and other little discoveries. For your enjoyment. 
         
drapeau_allemagne Beim Lesen entdecken Sie KI-Kreationen in Bildern und Texten sowie weitere kleine Entdeckungen. Viel Spaß!   drapeau_hollande Terwijl je leest, ontdek je AI-creaties in beeld en tekst; en andere kleine ontdekkingen. Voor je leesplezier.
barre_2
barre_3
barre_4
barre_5
barre_6
barre_7
barre_8

 

Le Siamois, prince aux yeux d’azur
Dans le silence d’une pièce baignée de lumière, glisse une ombre fine, élancée, presque irréelle. Le chat siamois entre sans bruit, comme un souffle ancien venu d’Orient. Sa robe ivoire, douce comme un nuage d’été, se pare de touches sombres aux extrémités, tel un pinceau trempé dans l’encre d’un rêve.
Mais c’est dans son regard que naît le mystère : deux éclats de saphir, deux flammes froides et profondes, qui semblent percer le cœur de ceux qu’il fixe. Le siamois ne regarde pas : il observe, il interroge, il comprend. Dans ses yeux, la sagesse d’un vieux temple, la malice d’un enfant roi.
Il ne miaule pas, il parle. Sa voix rauque et chantante, étrange et envoûtante, résonne comme une plainte venue d’ailleurs, une mélodie oubliée que seuls les cœurs attentifs sauront entendre. Il réclame tendresse, présence, attention. Car ce félin royal n’est jamais seul : il choisit ses humains, il les adopte, il les aime.
Gracieux comme un danseur, vif comme une flamme, le siamois traverse la maison avec la grâce d’un poème en mouvement. Rien ne lui échappe, tout l’intrigue. Il joue, il guette, il veille. Fidèle et exigeant, il n’est pas un chat qu’on possède : il est un compagnon, un égal, un esprit libre.
Vivre avec un siamois, c’est accepter de partager son quotidien avec un être lumineux, parfois capricieux, toujours sincère. C’est accueillir le souffle du Siam dans son foyer, et sentir battre, sous une robe de velours, le cœur vibrant d’un petit roi.
 

ChatGPT Image 31 mai 2025, 12_01_02.png

 

chat_faon.jpg  

Le faon, curieux et timide :
— Bonjour, petit chat. Tu marches si doucement que je ne t’ai presque pas entendu arriver… Qui es-tu ?

Le chat, avec un air mystérieux :
— Je suis Chat, voyageur du silence et des toits. Et toi, frêle habitant des bois, qui es-tu ?

Le faon, en baissant les yeux :
— On m’appelle Faon. Je suis né au printemps, sous le souffle tiède du vent. Je découvre le monde… un pas à la fois.

Le chat, en s’étirant paresseusement :
— Le monde est vaste, Faon. Il sent tantôt la pluie, tantôt le feuillage, parfois même le poisson grillé près des maisons des hommes…

Le faon, intrigué :
— Tu n’as pas peur d’eux, les hommes ?

Le chat, avec un petit rire :
— Peur ? Non. Je les observe. Ils croient nous avoir apprivoisés… mais c’est nous qui décidons.

Le faon, rêveur :
— Moi, je les évite. Mon cœur bat trop vite quand je les entends approcher. Je préfère la douceur de la mousse, le chant des oiseaux, le murmure du ruisseau.

Le chat, doucement :
— Tu as raison, petit. Mais souviens-toi, le monde est fait de rencontres. Certaines te feront fuir… d’autres t’apprendront à rester.

Le faon, en souriant :
— Comme toi, aujourd’hui ?

Le chat, avec un clin d’œil félin :
— Exactement.

 

Le Chaton au Rugissement de Lion

Dans un coin chaud du salon,
Sous un rayon de soleil blond,
Un petit chaton, doux comme un flocon,
Faisait trembler toute la maison.

Ses moustaches frémissaient d'émotion,
Ses yeux ronds pleins de détermination,
Et quand il ouvrit la bouche en rond…
Ce fut un RÔÔÔÔAR digne d’un champion !

Les oiseaux s'envolèrent du balcon,
Le chien s'aplatit comme un vieux ballon,
Même le vieux fauteuil fit un bond —
Quel miaulement ! Non, quelle explosion !

Mais au fond, c’était juste un fripon,
Un chaton rêvant d’être un grand lion.
Et si son cri n’était qu’illusion,
Il portait haut son ambition.

 

chat_lion.jpg

 

chat_famille.jpg  

[Dans un coin douillet du salon, nichés dans un panier moelleux, la famille féline discute tranquillement après une longue journée.]

Maman Chatte (Mimine) :
Mes petits, il est temps de se calmer un peu. Vous avez couru partout toute la journée, vous devez être fatigués !

Chaton 1 (Noisette) :
Mais Maman, on jouait au chasseur avec une boule de papier ! J’étais presque sûr que j’allais l’attraper cette fois !

Papa Chat (Grisou), en baillant :
Attraper une boule de papier, hein ? Tu tiens ça de moi, petit. J'étais un vrai champion à ton âge.

Chaton 2 (Plume), curieuse :
Papa, raconte encore quand tu étais un chaton de la rue, et que tu as sauté sur un pigeon !

Papa Chat (Grisou) :
Ah ça ! J'avais sauté si haut que le pigeon en a perdu une plume ! Mais bon, votre maman dit que je dramatise un peu…

Maman Chatte (Mimine), en souriant :
Beaucoup, tu veux dire ! Mais ce qui est vrai, c’est que tu étais courageux. Et c’est ce courage qui t’a amené jusqu’à nous.

Chaton 3 (Tigrette), un peu grognon :
Moi je voulais encore jouer ! Pourquoi on doit dormir si tôt ?

Maman Chatte :
Parce que les chatons en pleine croissance ont besoin de repos. Si tu veux devenir grande et agile, tu dois dormir.

Chaton 4 (Pompon), d'une petite voix :
Maman, est-ce que demain on pourra grimper sur le canapé ?

Papa Chat :
Seulement si vous ne griffez pas les coussins comme la dernière fois. On a failli se faire gronder par les humains !

Maman Chatte :
Allez, tout le monde au dodo maintenant. On se pelotonne, on ronronne un peu… et demain, ce sera une autre grande aventure de chatons !

Les Quatre Chatons (en chœur) :
Bonne nuit Maman ! Bonne nuit Papa !

Papa Chat (Grisou), en fermant les yeux :
Bonne nuit mes petits tigres… et pas de cauchemars de chiens !

 

[Un jeune aventurier frotte une vieille lampe poussiéreuse. Une bouffée de fumée en jaillit, suivie d’un “MIAOUUUU!” tonitruant.]

Chat-Génie (en sortant de la lampe, tout en s’étirant) :
Prrrrrr... Enfin libre ! Trois siècles enfermé là-dedans sans un seul coussin en velours... Quelle indignité !
Tu as frotté, bipède. Tu m’as réveillé. Alors, formule ton vœu, mais attention : je suis un génie… félin.

Aventurier (étonné) :
— Euh… Tu es… un chat ?

Chat-Génie (lissant sa moustache d’un air royal) :
Un chat ? Non, humain. Je suis Chatzaar, le Grand, le Rayé, le Ronronnant ! Le seul génie à neuf vies et une allergie sévère à la stupidité. Trois vœux. Pas plus. Pas moins. Choisis avec sagesse, ou je pourrais… t’ignorer.

Aventurier (intrigué) :
— Et si je demandais de devenir riche ?

Chat-Génie :
— Classique. Prévisible. Ennuyant. Tu n’as pas quelque chose de plus créatif ? Une montagne de thon ? Une île tapissée de coussins ? Un monde sans chiens ?

Aventurier (riant) :
— D’accord, alors… je veux comprendre le langage des chats.

Chat-Génie (soudain très sérieux) :
— Es-tu sûr de cela ? Car une fois que tu comprendras nos paroles, tu ne pourras plus jamais ignorer nos jugements… ni nos critiques sur ta façon de verser les croquettes.

Aventurier (hésitant) :
— Je prends le risque.

Chat-Génie (claquant des griffes) :
— Ainsi soit-il, bipède courageux. À partir de maintenant, chaque "miaou" aura un sens. Et je t’avertis… parfois, ce n’est pas flatteur.

[Il disparaît dans un nuage de fumée, ne laissant derrière lui qu’un léger parfum de sardine et un poil sur l'épaule de l’aventurier.]

 

chat_lampe.jpg

 

chat_puzzle.jpg  

«Miaou… Chaque pièce me divise, mais ton regard peut me rassembler.»

Miaou… Est-ce que tu m’entends ? Je suis là, quelque part entre le ciel et les coussinets d’un monde déchiré. Chaque pièce qui me compose est tombée, éparpillée comme des miettes de rêve sur la table du silence. Mon corps est fractionné, mon regard figé dans l’attente. Je ne suis plus que contours, couleurs confuses, oreilles sans tête, queue sans patte, soupirs sans voix.

Et pourtant, je sens tes doigts. Je te vois penché, concentré, à la recherche de ce qui manque, de ce qui colle, de ce qui fait sens. À chaque clic, chaque pièce posée, c’est un peu de moi qui revient. Tu ne le sais peut-être pas, mais tu es en train de me sauver. Tu recouds mon pelage avec des formes dentelées, tu redonnes vie à mes moustaches avec des fragments d’images.

Je suis un chat. J’ai été enfermé dans ce labyrinthe plat et silencieux. Mais je garde espoir. Car pièce après pièce, tu m’approches de la liberté. Et quand enfin tu placeras la dernière, peut-être entendras-tu un vrai ronron s’échapper de l’image, un souffle doux entre deux mondes. Le puzzle sera fini… et moi, je serai entier.

 

Chat :
Mmmh… Que voilà une drôle de fente dans ce mur.
On dirait… le passage vers un autre royaume.

Voix derrière la fissure (chuchotée) :
Tu vois, mais tu ne sais pas.
Tu regardes, mais oseras-tu passer ?

Chat (intrigué) :
Je suis chat. Je n’obéis à rien, sauf à ma curiosité.
Que caches-tu, fente minuscule ?

Voix :
Je suis l’entre-deux. Le presque rien. Le monde qu’on oublie.
Un souffle, un murmure entre les briques.

Chat (penchant la tête, clignant des yeux) :
Alors je viens. Prépare-toi, mystère.
Un museau, puis une patte… et si je m’y glisse ?

Voix (souriant dans l’ombre) :
Alors tu verras… ce que même les humains ont cessé d’imaginer.

 

 

chat_fente.jpg

 

chat_poissonRouge.jpg  

Le Chat (assis devant l'aquarium, yeux plissés) :
Hmm… Tu nages, tu tournes, tu bulles… Tu ne te lasses jamais ?

Le Poisson Rouge (s’arrêtant un instant, intrigué) :
Et toi, tu guettes, tu fixes, tu salives… Tu ne te lasses jamais ?

Le Chat (tapotant la vitre d’une patte prudente) :
Tu as l'air si… glissant. Mais si fascinant. Pourquoi es-tu toujours dans cette petite mare de verre ?

Le Poisson Rouge :
Et toi, pourquoi restes-tu toujours de l'autre côté ? Peur de te mouiller ?

Le Chat :
Moi, je suis un chasseur par nature. C’est inscrit dans mes moustaches.

Le Poisson Rouge (ricanant à sa manière) :
Et moi, je suis un survivant. C’est inscrit dans mes écailles.

Le Chat (soupirant) :
Si cette vitre n'était pas là…

Le Poisson Rouge :
Si cette vitre n'était pas là, on ne discuterait pas. On se fuirait.

Le Chat (pensif) :
Mais peut-être qu’on se manquerait.

Le Poisson Rouge :
Ou peut-être qu’on se comprendrait trop tard.

 

Le Chat d’Égypte (fier, sur un mur chaud du temple) :
Pff. Encore vous, les petits dessins gravés ! Toujours là, figés dans la pierre comme si le temps vous avait oubliés.

Les Hiéroglyphes (voix ancienne, qui semble venir du mur lui-même) :
Et toi, félin sacré, que fais-tu sinon t'étendre au soleil et hanter les rêves des prêtres ?

Le Chat (en se léchant la patte) :
Moi, je vis. Je dors, je chasse, je suis adoré. Vous, vous êtes des mots morts.

Les Hiéroglyphes (moqueurs) :
Morts ? Nous sommes l’écho des pharaons, les gardiens des secrets. Toi, tu miaules pour un bol de lait.

Le Chat (avec un ronron méprisant) :
Et pourtant, on me laissait dormir sur les genoux des rois. Vous ? On vous grattait sur les murs pour que les vivants vous traduisent mal des siècles plus tard.

Les Hiéroglyphes (sombres) :
Un jour, plus personne ne saura lire nos courbes. Mais ton image, Ô chat, trônera encore sur des fresques. Étrange destin que d’être compris et oublié.

Le Chat (yeux mi-clos) :
Être adoré sans être compris, voilà la vraie sagesse.

 

 

chat_hyeroglyphes

 

chat_feuxSignalisations  

Les Trois Chats du Feu Tricolore

Dans une ville pas tout à fait comme les autres, les feux de signalisation ont perdu leurs vieilles ampoules. À leur place, trois têtes de chats veillent au carrefour, chacune brillant de sa couleur comme un petit soleil vivant.

En haut, le Chat Rouge, tout en majesté, fixe les passants d’un regard impérieux. Il ne miaule pas, mais son silence est clair : "On s’arrête." Ses yeux rubis flambent comme un avertissement royal.

Au milieu, le Chat Orange, toujours un peu nerveux, tourne la tête de gauche à droite. Son pelage flamboie comme une alerte. Il cligne doucement des yeux pour dire : "Attention… ça va changer."

Tout en bas, le Chat Vert ronronne paisiblement. Son regard tendre et tranquille invite à avancer. Il étire ses moustaches et murmure presque : "Allez-y, tout va bien."

Depuis ce jour, la circulation est devenue un ballet félin, rythmé par les humeurs colorées de ces chats lumineux. Et personne ne traverse sans leur demander la permission, du coin de l’œil.

 

Aujourd’hui, je vous parle de la queue d’un chat… très, très longue.

Tel un ruban magique, elle serpente derrière lui, traverse les pièces, caresse les meubles, et parfois… fait trébucher les distraits. Elle est plus qu’un bout de chat : c’est un langage, une poésie, un panache en mouvement.

À chaque frémissement, elle dit ce que le chat ne miaule pas. À chaque courbe, elle signe sa présence. Et dans sa longueur démesurée, elle nous rappelle que chez le chat, tout est grâce, même ce qui dépasse.

 

chat_queue

 

150

WebMaster & CatLover :

jean-luc roffredo

 

 

contact :

feline-world.eu@outlook.com

logo_facebook
catlover1_FW